je ne suis pas vraiment DJ., mais j'ai endiablé pas mal de gens avec mes petits sets..
Des vieux Keupons, des jeunes Skaters, et tout plein de personnes..
Dans des bars, des sqatts, etc..

Pour la musique ainsi que pour l'image que du vieux, c'est avec les vieilles marmites que l'on fait les meilleures soupes, c'est pas moi c'est le dicton.
Je dis des sottises, il y a une nouvelle chose, scannée ce matin puis détourée dans la foulée.
Une platine MK2 sortie d'un de mes 2 bouquins rock'n'rollesques ainsi qu'un casque que j'avais un brin zappé et qui ressort au bon moment.
Donc des vieilleries musicales mais judicieusement choisies, 3 GI.Joe bien sonores et un anglais que je vais écouter encore assez longtemps, pas du tout blasé par Mister David "Jones" Bowie.

Prenez par exemple The Pixies, j'ai plusieurs disque d'eux en live et ils commencent par Debaser, allez donc savoir pourquoi.
Rigolo, non ?? ...

Une autre que j'aime bien, ce n'est pas vraiment une anecdote , mais c'est chouette.
The Clash en concert à Kingston, j'ai bien dit le nom de la capitale de la Jamaïque.
Présentation classique, ensuite une petite bafouille sympatoche de Uncle Joe, colmme dirait Lily Allen car Mister John Graham Mellor alias Joe Strummer était son parrain.
Et bing, prends toi ça dans la face, une grosse et bien sonore version du fantastique London Calling..
Happy les Rastas.
Une grosse claque comme Anti Pasti et en pousse café, un Sraigth to Hell de derrière les fagots.
Achevés les Dreadlocks men.
Au départ nos quatre Rude Boys sont du genre à aimer grave le Reggae; mais avec Mickey Dread comme prof, ils étaient surement doués mais avec des perles comme (White Man) in a Hammersmith Palais, ils frisent le génie.
Fan je suis et fan je resterai.

Je remarque que j'ai peu de lecteurs, il est vrai qu'en avoir plus ne me déplairait point, mais je fais avec et et je pourrais me la jouer Kristobl le Blogger maudit, je n'en suis pas encore là et j'espère ne jamaisavoir le dire ou bien encore l'écrire.
Donc si lecteurs il y a, ils doivent se dire jamais il arrête de parler musique.
C'est vraiment l'art dont je pourrais jamais m'en lasser ou vivre sans; cette dernière option est inimaginable en soi.
Et à la question, vous savez l'ile déserte, le seul disque qu'on peut embarqué et patin couffin, moi je dis temps mort et joker, car j'ai tellement de disques en tête de tout style et toute époque qu'il me serrait impossible de faire un choix.
Tout ce beau discours pour parler effectivement de musique
Ce soir ce sera  donc une émission dans le genre de celles au couple Carpentier, mes invités ce seront donc The Jam, groupe majeur de la fin des seventies et du début des eighties.
Formé en 1972 par la rencontre de Steve brooks et Paul Weller, tous les deux guitaristes, avec Bruce Foxton bassiste de son état et le batteur Rick Buckler, ils créent The Jam.
Leurs influences viennent aussi bien des groupes comme The Kinks , leur somptueuse version de David Watts de ces derniers marquera les esprits du moins le mien et aussi des USA, les têtes d'affiches du rock'n'roll du pays de l'Oncle Sam, je ne vais pas les nommer, vous savez de qui je parle ainsi que les productions des labels soul comme Stax et Motown.
Après le départ  de Steve Brooks, ils continuent à trois et auront le parcours qu'on leur connait, six disques inégaux soit, même avec leur patte bien à eux.
Le premier sort en 1977 qui a pour nom In the City pour finir en beauté avec The Gift sorti en 1982..
Alors pour dire lequel vais pouvoir écouter et je me suis rabattu sur leur Greatest Hits et je n'apprecie guère ce genre de chose.
Et bien celui-ci pour une fois donne vraiment un apperçu de leurs univers avec bien entendu le boulet de canon qu'est  This is the Modern  World et le sublime A Town Called Malice morceau que l'on peut entendre sur la B.O. de Billy Elliot.
.Ce qui donnerait avec eux comme invités principaux un plateau de stars comme on dit, on pourrait donc y croiser des Messieurs britanniques comme Ray Davis et Pete Townsend, , quelques étasuniens comme Little Richards se faisant accompagner par Marvin Gaye et pourquoi pas Mister Dynamite ils ont récidivés dans la bonne reprise avec leur I Feel Good  de ce dernier.
Et si par hasard vous pouvez croiser le regard de jeunes anglais barrés queux, vous vous dites je suis bien en 1977 et ce n'est pas une hallucination, c'est bien Johnny Roten que je viens de voir
Weller adorait leur énergie galopante, des morceaux comme In the City le prouvera dès leur premier album .

J'aurai du poster cet article il y a quelques jours déjà, mais crise de flemmingite aigüe aidant ainsi qu'un petit passage ambiance grognon..
J'ai donc ressorti ma panoplie ours mal lèché et ai passé ces jours derniers dans mon antre.
No PC, donc pas d'internet et pas de musique, juste la presse écrite et des bouquins à portée de mains.
Je me suis dis, ce matin je décol
le et je sort de ma coquille, fini de faire l'huitre et en avant pour de nouvelles aventures.
Tout en étant occuper à diverses tâches ménagères, je me suis replongé dans Bauhaus et ce qui a suivi par la suite, Dali's Car tout d'abord, composé du chanteur, Peter Murphy, de Mick Karn de Japan et un troisième larron prénommé Paul Vincent Lawford, pour ce dernier je n'ai rien vu le concernant; du genre avec qui a-t-il joué ?
Ensuite Love and Rockets, les musiciens au complet sans le chanteur, ce qui donne Daniel Ash, David J et enfin Kevin Haskins.
Il ya eu de même Tones on Tail, mais je ne sais et surtout je ne connais rien d'eux.
P.Murphy ainsi que D.Ash entameront des carri-res solo, quand aux deux autres D.J et Kevin Haskins produiront de la musique de films et de jeux vidéos.
Une première séparation en 1982, puis une reformation et un album en 2008 conçu après une tournée en première partie de Nine Inch Nails, comique non !!!!
2008sortie de Go away White et re séparation à nouveau et re délire d'égo, le guitariste Daniel Ash en l'occurence n'étant pas trop branché pour continuerl'aventue préférant s'occuper de sa carrière solo.
Et maintenant silence radio...

Image en forme d'hommage à deux groupes américains pas mal déjantés et avant-gardistes formés tous à la même époque, ces messieurs de Residents et Devo.

 

Je l'ai appris, il y a peu, mais les petits Bordelais de Noir Désir ont fait une tournée en Syrie, au moment de l'invasion de Ramallah par Tsahal et du plesbicite du Papa de Bachar, vous savez de qui je parle, le fils est pire que le daron.
Tel père, tel fils, en somme
Et ce weekend, j'ai pu le voir en vidéo; Noisir Désir tracks arte par you tube.
Un grand bonheur de les entendre jouer Le Grand Incendie dans le souk de Damas
Grandiose !!!!

Et puis dans ce chouette petit documentaire, un peu plus de 27Min, j'ai découvert qu'en marge d'aimer Gun Club, ils aimaient beaucoup aussi MC's5, de bien bonnes références..
Je n'en dis pas plus à vous de voir.

Et pour ne pas mentir à propos de cet adage bien français.
Je publie donc une troisième mouture de Time is on my side..
Quelques changements bien sur, mais je reste dans l'ensemble dans la mlême optique.

Autrement, tout va bien dans le meilleur des mondes, pas de coups de gueule, pas de trucs pénibles..
Que du bonheur serait un bien grand mot, mais ça va.
Dela musique et encore de la musique et tout baigne.

C'était convenu, si il y a eu part one il devait y avoir une part two..
Donc le contrat est bien rempli et nous nous arrêterons à la part two.
Cela m'arrange bien parce que je n'ai pas envie d'en faire plus, non par manque d'images de montres mais surtout par flemme et pas du tout la motivation  pour me prendre la tête en cette veille de long weekend Pascal.
Cela me laissera de la place, premièrement pour publier une nouvelle image du bestiaire concocté par l'ami Arkx, the Fabulous Northman.

Vendredi 03 avril, veille de Pâques 2015, donc aujourd'hui Vendredi Saint..
Pour marquer le  coup un petit  Bauhaus, le premier album avec cette petite merveille qu'est Stigmata Martyr..
Continuons dans le destroy Pascal avec un excellente Bédé signée par un américain nommé Sean Murphy.
Grosso modo, c'est l'histoir du clonage foiré du Christ pour une émission de télé réalité.
Je ne vous en dit pas plus, absolument à lire et à relire surtout dans cette période
Du grand art, scénario en béton et graphisme magnifique.
Je vous parlais dans le précédent article de groupes marquants , en voila un que l'on m'a fait découvrir; il y a un an environ et depuis j'ai du mal à décroché.
Thee Oh Sees, évidement.